Mes Petits Boulots DÉtudiante - 1
Je mappelle Camille, jai 22 ans, je suis étudiante en architecture à Paris depuis trois ans. Originaire du centre de la France, jai dû louer un studio pour mes études. Mes parents ne sont pas particulièrement aisés, donc je me trouve régulièrement des petits boulots pour améliorer mon ordinaire.
Peu de temps après mon arrivée, à la boulangerie en bas de chez moi, jai vu une annonce dun couple recherchant une baby-sitter.
Jai appelé, et après nous être mis daccord, je savais que jaurais à garder leur nourrisson tous les jeudis soirs, et parfois le samedi. Tout se passait très simplement, jusquà un samedi soir.
Je suis arrivée comme dhabitude, vers 19h30. Le bébé dormait tranquillement.
Le couple est parti, je me suis plongée dans mes cours.
Vers 22h30, jai entendu la porte souvrir et jai vu le père, Monsieur LETOU, rentrer seul. Il ma expliqué que pendant la soirée, sa belle-mère avait appelé Madame LETOU pour un petit problème et que celle-ci sétait rendue chez elle directement.
- Elle va y passer la nuit, cela arrive de temps en temps, sa maman est âgée.
Puis il ma proposé de boire un verre avant que je ne parte.
- Ce sera loccasion de mieux faire connaissance. Parlez-moi un peu de votre vie parisienne ma-t-il dit en me servant une vodka orange.
Jai commencé à lui parler de ma vie somme toute banale détudiante, de mes rares sorties au cinéma ou au théâtre. Comme je lui disais ingénument que jétais souvent seule, il ma dit :
- Comment, pas de petit ami, vous qui êtes si mignonne ?
- Non, pas en ce moment, mais cela viendra en son temps, je ne suis là que depuis deux mois !
- Ce nest pas bon dêtre seule, non ? Il y a ment des moments où lon aimerait un peu de chaleur humaine.
Jai sûrement un peu rougi, parce que cest vrai que pendant ces deux mois, je navais eu que mes masturbations pour soulager mes envies. Mais jai compris quil memmenait sur un terrain glissant, et trouvé quil allait vite en besogne.
- Oh, vous savez, la chaleur humaine est importante, mais mes études sont difficiles et comblent mes soirées.
- Oui, cest bien dêtre travailleuse, mais un peu de fantaisie cest important aussi.
- Il y a le cinéma et le théâtre, ou je vais parfois avec une copine.
Je le voyais qui me mangeait des yeux, tout en sirotant son alcool. Et jai commencé à avoir des picotements dans le ventre, signe annonciateur dune envie de sexe.
- Je suis sûr que cela ne vous suffit pas, vous êtes jolie, jeune, pleine de vie, et je ne peux croire que les garçons ne vous intéressent pas.
- Ils mintéressent, mais pas au point de tout oublier pour eux ! Vous, vous avez une femme très belle et très aimante, un bon boulot, et un bébé adorable, je suis sure que vous vous consacrez bien à eux.
- Bien sûr, mais vous savez, la vie de couple à ses hauts et ses bas
- Ah, et vous êtes en train de me dire quen ce moment cest plutôt bas ?
- Euuuh, en quelque sorte.
- Et cest pour cela que vous me faites un brin de cour.
- Je vous trouve vraiment jolie depuis que vous faites le baby-sitting, cest loccasion de vous le dire.
Là, jai décidé de franchir le pas, et de le bousculer.
- Si jen juge par lérection qui soulève votre pantalon, vous ne me voyez pas seulement de manière platonique, vous en voulez plus ! Alors, montrez-moi un peu ce que vous cachez là-dedans.
Je pensais le déstabiliser ? Raté !
Il a éclaté de rire, sest levé, a enlevé ses chaussures, ôté son froc et son caleçon, et sest avancé vers moi, la bite tendue.
- Petite gourgandine, je vois que je ne métais pas trompé, tu es une petite coquine en manque de sexe. En voilà un beau, suce-le.
Prise à mon propre piège, jai souri, jai avancé la tête. Cest vrai quil avait une queue superbe, bien droite, assez épaisse, pas très longue mais suffisamment, je lai constaté ensuite, pour quil senfonce bien dans ma chatte.
Jai léché son méat, le tour de son gland, le long de sa queue jusquà son pubis qui était à moitié rasé, puis, en le regardant droit dans les yeux, jai embouché son sexe.
Cest bon, un sexe de garçon. Je trouve que la mollesse des tissus quand on pose la bouche dessus est bien compensée par la rigidité de lensemble quand il est tendu.
Et moi, jadore sucer.
Je lai pompé, pompé, allant du bord des lèvres au fond de la gorge, sans les mains. Celles-ci ont vite été lui câliner les boules rasées.
- Tu suces divinement, Camille, je dois le dire. Il y a longtemps que je nai pas eu une telle fellation, et pourtant ma femme est bonne à ce jeu aussi !
- MMeeuuurrrcccci, ai-je réussi à répondre, la bouche pleine.
Jaime aller et venir le long dune tige bien raide, saliver autour de ce membre qui palpite, le sentir appuyer sur ma glotte, faire tourner ma langue autour. Je ne sais pas doù me vient ce plaisir, mais déjà petite je suçais longuement des objets divers.
- Attends, ma-t-dit, je veux aussi te faire plaisir.
Il sest mis nu, sest approché de moi, ma enlevé mon tee-shirt, a libéré mes seins, puis ma ôté pantalon et culotte.
- Tu es magnifique, un amour de jeune fille. Tes seins sont ronds et fermes, ton cul est petit, mais pas trop, et tu as des formes appétissantes sans être grosse. Je ne comprends pas que tu naies pas un copain.
- Plus besoin, jai un employeur à disposition, lui ai-je souri. Même si cest occasionnel !
- Et vive, en plus, un vrai bonheur. Assieds-toi dans le fauteuil, écarte tes cuisses, je vais te lécher.
Jaime sucer, cest sûr, mais être léchée, cest encore mieux. Surtout par un homme qui a un peu dexpérience. Et lui a su sapprocher, découvrir le goût de mes lèvres mouillées avec délicatesse, puis mécarter les lèvres de bas en haut du bout de la langue, avant de venir, entre ses lèvres, me prendre le clitoris tendrement. Jai fondu, écarté encore plus les jambes, et me suis laissée aller à la douceur de sa caresse.
Les bras passés sous mes jambes pour les relever, il me caressait les seins en même temps, les malaxant avec douceur, titillant mes tétons, les pinçant sans douleur par moment. Et jai joui, comme je ne lavais pas fait depuis longtemps, lui envoyant un petit jet de cyprine sur le museau.
Il a relevé la tête, lair ravi de mavoir donné du plaisir.
- Je veux te prendre en levrette, tu veux bien ? ma-t-il demandé, soudain un peu timide.
Je me suis agenouillée sur le fauteuil, ai présenté mon fessier. Debout derrière moi, il a posé sa queue à lorée de mon vagin et sest enfoncé dedans, en soupirant daise.
Et moi, javais enfin une queue pour me prendre, enfin je sentais un mâle qui me pénétrait de toute sa vaillance, et la largeur de sa queue mélargissait le con de divine manière.
Il a commencé à me limer, et très vite il a accéléré, me tenant les hanches pour mieux aller au fond des choses. Moi, dans ces moments-là, je peux me lâcher :
- Mm, jaime ta queue en moi, je la sens bien. Vas, vas-y, prends-moi, je suis à toi ce soir, profite de ma chatte, admire mon cul.
- Ouh là, tu te trémousses comme une damnée, comme cest beau ce cul qui danse. Je te prends bien, je te sens bien, jaime te baiser Camille.
- Encore, Monsieur mon patron, encore, je veux sentir votre queue au fond de moi, je veux jouir de vos assauts.
Nous avons continué ainsi, nous encourageant. Mais les meilleures choses ont une fin. Il a fini par se retirer, juste au moment idoine pour quun beau jet crémeux vienne finir sa course dans mon dos.
Nous nous sommes assis par terre, il ma pris dans ses bras.
- Merci pour ce joli moment, Camille, javais vraiment envie de toi.
- Merci aussi, tu mas redonné envie de baiser. Javoue que je me contentais de mes doigts depuis mon arrivée à Paris, mais un homme, cest quand même autre chose !
- Alors, peut-être une autre fois, si ma femme va chez sa mère ?
- Cest vous le patron, Monsieur, ai-je répondu comme une soubrette soumise en riant.
- Je men souviendrai, jeune fille ! En attendant, rentre vite chez toi, et à jeudi prochain.
Vite rhabillée, je suis partie. Sur le chemin vers mon appartement, je me suis dit que la vie est pleine de surprises. Et quil y a des patrons qui savent donner de leur personne !
Mais je ne savais pas encore que cet appartement me réservait dautres découvertes.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!